Nearly every third post in my social feeds now is for an online yoga class or live Instagram or Facebook meditation or asana session. It is heartwarming to see all of these offerings and a real virtual community and support system developing, but it can also be hard to know what to tune in to. Then, three days ago, something popped up on Instagram that prompted me to click immediately: Sahara Rose Ketabi’s 22-minute Conscious Twerkshop—part of her daily dance post series.
Au début, j'étais simplement fasciné. Elle parlait de la twerk comme une vraie pratique légitime pour débloquer votre chakra racine (Muladhara) - le centre d'énergie en yoga associé à la connexion à la terre et à une sensation ancrée et sûre. C’est celui le plus proche de votre atout twerk. Et celui à laquelle nous devons probablement tous accéder en ce moment.
Malgré plus de 20 ans de pratique du yoga, je vis dans un corps assez rigide. Je suis excellent en danse structurée (salle de bal, même à la manière de Bollywood), mais quand il s'agit de le secouer et de désactiver, j'ai tendance à ressembler à quelque chose comme un robot.
Mais l'énergie de Sahara était contagieuse, et je me suis donc levé et j'ai essayé de faire éclater et de rebondir mon butin avec elle.
At first it was comic relief (mostly for my husband, whom I now share a home office with), and then I realized how stiff and tense my entire body was. I had been hunched over a laptop for three days straight, often forgetting to take deep breaths. I had been on a few short walks but hadn’t hit the yoga studio, obviously, or found the time to get through an entire hourlong live or online class. I was tight, and, as I wiggled to Salt Shaker, I also realized how my body had been holding on to stress and anxiety. I needed to let loose. In an instant, twerking became medicine.
Essayez de garder vos fesses lâches, pas de serrage, pas de resserrement, le Sahara a demandé à son salon. Bien, je suis Un cul serré , Je pensais. Mon rebond ressemblait plus à un bop; Mon remontage plus comme un élément de canard; Je peux tomber dans la méditation dans une minute, mais j'avais du mal à le laisser tomber comme s'il faisait chaud. Après une bouffée initiale de conscience de soi et d'embarras, j'ai réalisé que je n'avais rien à perdre et tout à gagner en faisant des efforts et en lâchant. Je pouvais sentir la retenue que j'exerçais depuis des décennies déterminer mes mouvements et je voulais être libre de tout - le contrôle, la peur et l'auto-juge que je ressentais à propos de la boucle. Je voulais ressentir la liberté qui vient d'être incarnée, d'accepter et de fluide, et de ne pas vous prendre au sérieux.
Alors maintenant, je ne peux pas m'arrêter de twerking. Je prends des pauses Twerk de cinq minutes lorsque ma tête a l'impression d'exploser de toutes les choses qui me viennent, quand j'ai besoin d'énergie, quand je sens mes muscles se resserrer et quand j'ai un bloc créatif. Cela pourrait même être mieux que le yoga à certains moments. Comme le dit Sahara: Souvent, lorsque nous faisons du yoga, nous fermons notre shakti (énergie féminine) et donnons plus de discipline, plus de rigidité, plus de force. Quand en yoga rebondis-tu, tremblez-vous et devenez-vous fou?
Après une brève faillite, je peux m'asseoir en me sentant plus incarnée, connectée et créative et moins anxieuse. Et j'ai un nouveau défi sur lequel travailler, pour me divertir entre les modifications et les conférences téléphoniques et les e-mails. Prochaine étape alors que je twerk de chez moi: isoler une joue.
Trouvez le mélange Twerk de Sahara sur Spotify: @iamsahararose. Et ses leçons de danse quotidiennes ici: @iamsahararoese sur Instagram.
